Politique familiale
Le Parti Pirate défend une politique contemporaine du genre et de la famille. Ceci est basé sur le principe de la libre autodétermination de la vie personnelle. Les Pirates s’engagent à faire en sorte que les politiques répondent à la diversité des modes de vie. Chacun doit être libre de choisir son propre mode de vie et la forme souhaitée de coexistence égale. La coexistence humaine ne doit pas être fondée sur l’exploitation des individus. Toutes les formes de cohabitation dans l’identité sexuelle. L’orientation doit être respectée dans la mesure où elle est fondée sur l’accord mutuel et le respect des personnes concernées.
Réformer les droits parentaux
Les droits parentaux comprennent également les droits des parents en cas de divorce. Nous exigeons que la réalité soit enfin prise en compte et que chaque parent qui souhaite s’impliquer dans l’éducation de l’enfant, quel que soit son sexe, bénéficie des mêmes droits. La loi sur le divorce doit donc être réformée en conséquence. Le choix de l’enfant de rester en contact avec ses deux parents, s’il le souhaite, doit être une priorité.
Statut de l’enfant
En raison de la tendance à abolir les modèles familiaux traditionnels, ainsi que la nouvelle loi sur le divorce, les enfants deviennent plus vulnérables et ont besoin de facto d’une protection efficace grâce à un droit contraignant de participation à la détermination de leur avenir. La justice ne peut plus considérer l’enfant comme un « objet », mais l’enfant doit enfin être reconnu comme un « sujet » de protection ! L’enfant a le droit de maintenir le contact avec ses deux parents ainsi qu’avec les membres de sa famille proche après un divorce. L’enfant a le droit de refuser le contact.
Les jugements qui sont explicitement dirigés contre la volonté de l’enfant sont à l’opposé des droits humains les plus fondamentaux et ne devraient être imposés à aucun enfant par une décision de justice. Si l’enfant a besoin de son propre avocat, cela doit être demandé par l’intermédiaire d’un parent de la confiance de l’enfant, en collaboration avec un psychologue qui bénéficie de la confiance de l’enfant. L’avocat doit avoir la confiance de l’enfant et doit être irrévocablement remplacé en cas d’abus de confiance. Un juge ne peut imposer à un enfant aucun avocat pour enfants désignés par le tribunal. En cas de placement, les deux parents, et/ou le médecin généraliste de l’enfant, ainsi que l’enfant lui-même, et un psychologue bénéficiant de la confiance de l’enfant, doivent plaider conjointement en faveur de cette mesure. Tout enfant doit être accompagné, en cas d’enquête ou de déposition de la police, d’un travailleur social, devant la SCAS ou en justice, d’un pédopsychiatre et d’un délégué de la Commission des droits de l’homme. Aucun enfant ne peut être interrogé seul, comme c’est actuellement le cas. A la demande de l’enfant, un ou les deux parents doivent participer à ces entretiens. Ces dispositions doivent également être respectées en cas d’enquête par un avocat ou un expert désigné par le tribunal.
Une personne qui découvre un abus physique ou mental ou un abus sur un enfant (médecin de famille ou scolaire, soignant, parent ou membre de la famille, ami et connaissance de l’enfant) est soumise à l’obligation de signalement et doit donc être protégée par la loi. En cas d’atteintes corporelles ou d’agressions sexuelles sur un enfant de moins de 15 ans, l’auteur doit être poursuivi pour ce délit. Il s’agit d’un crime et d’une violation de la vulnérabilité de l’enfant avec des conséquences graves et, en tant que tel, ne doit pas être présenté comme une infraction de cavalerie. Dans ces cas, il n’y a aucune preuve pour prouver à l’enfant qu’il a résisté à une attaque contre son intimité. En cas de voies de fait graves et répétées, aucune prescription temporelle ne peut faire obstacle à une plainte ultérieure.
Abolir l’adoption simple pour chaque famille, abolir l’adoption plénière
Nous considérons qu’il s’agit d’un droit fondamental de tout être humain de connaître l’identité de ses parents biologiques si cette personne fait ce choix. Nul n’est autorisé à priver un autre de la possibilité de découvrir ses propres racines. Pour cette raison, nous sommes favorables à la suppression de l’adoption plénière, dans laquelle les liens avec les parents biologiques sont rompus.
De plus, l’adoption doit être simplement réformée et adaptée aux faits sociaux. Le désir d’offrir à un enfant un foyer dans lequel il reçoit amour et soins doit dans tous les cas être soutenu. À cette fin, tout adulte qui, selon les critères des professionnels compétents et possédant les compétences nécessaires, devrait avoir la possibilité de postuler en tant que parent candidat à une procédure d’adoption.
Des logements familiaux à des prix abordables
L’Etat lui-même construira des logements et les fournira à partir de 750 € par mois, sans condition pour les particuliers & familles. Les maisons restent en possession à l’état et ainsi la valeur est maintenue.
Les parents devraient avoir le choix, même s’ils gagnent peu ! Travailler, rester à la maison ou les deux ?
Le titre-service ne peut être valablement bénéficié de la prise en charge que si les parents des structures d’accueil secrètes prennent en charge la prise en charge de leurs enfants.
Les personnes à faible revenu n’ont pas la possibilité de choisir de rester avec leurs enfants en tout ou en partie ; bien que cela soit souvent revendiqué par les fonctionnaires.
Les parents devraient vraiment avoir le choix quant à l’endroit et la façon dont leurs enfants sont pris en charge. Une solution serait de payer le service chèque en partie ou en totalité (selon le projet de vie) Le paiement devrait être échelonné, tout comme le service chèque, c’est-à-dire en fonction des revenus des parents. Ce montant peut alors également être taxé, ainsi que le chiffre d’affaires des structures de soins.
Avec le service chèque « borem », les parents ont la possibilité de rester à la maison en tout ou en partie.
Parents et enfants en profitent. Les taxes ne seront pas perdues, car le service de chèques continuera d’être taxé. Les structures d’accueil de la petite enfance, comme la Maison Relais, sont déjà pleines à craquer et la population devrait continuer à croître dans les années à venir, si bien que de plus en plus d’enfants ont besoin d’être pris en charge ; c’est-à-dire que les infrastructures existantes doivent être agrandies, de nouvelles doivent être construites.
Si davantage d’enfants sont élevés et gardés à la maison dans la famille, le budget économisé peut être utilisé, par exemple, pour des logements sociaux ou des logements de soins pour personnes âgées.
La qualité de vie s’améliore, les enfants et les familles s’améliorent. Une amélioration pour petits et grands !
Nos enfants sont notre avenir. Prenons bien soin de nos enfants
Garde d’enfants
Les crèches, Maison Relais et les futures « minicrèches » sont souvent très rigides lorsque les parents, par exemple, ont des horaires de travail irréguliers et la plupart du temps, ils ne paient qu’au forfait et non à l’heure. Les mères de garderie ont l’avantage de pouvoir s’occuper de leurs enfants dans un environnement familial. Dans leur profession, ils peuvent également bénéficier de la possibilité de s’occuper et d’éduquer leurs propres enfants en même temps.
Malheureusement, la maternité quotidienne de l’État est rendue infiniment plus compliquée par la vie. La bureaucratie est de plus en plus respectée, ce qui est à l’opposé de l’objectif de simplification administrative du gouvernement. Des changements constants et des directives supplémentaires rendent la vie difficile pour les parents et les mères de garderie. Les travailleuses indépendantes qui apportent une contribution significative à notre société par leur profession sont encouragées à exercer cette activité. Les parents paient les mères de garderie pour s’occuper de leurs enfants et non pour effectuer des activités administratives et mettre en œuvre des directives qui changent de façon permanente.
Les minicrèches qui vont être mises en place aujourd’hui posent à nouveau les bases pour les mères de jour. À l’avenir, tous les enfants devraient-ils être placés dans des crèches d’État, et le gouvernement veut-il pousser les mères de garderie du marché par la pression et le changement constant de directives ? Les travailleuses indépendantes devraient-elles à nouveau travailler comme salariées, en renonçant à leur statut ? On lui dit NON ! Les parents devraient pouvoir décider eux-mêmes de la façon dont leurs enfants devraient être pris en charge ; en crèche, en garderie ou à domicile ! Afin de garantir que les mères de garderie ne soient pas exclues du marché et que les parents continuent d’avoir le choix, nous exigeons des directives claires et stables qui ne soient pas modifiées de façon permanente et que les parents puissent travailler avec les mères de garderie facilement et sans complication.
Reeboufamillen
Nous soutenons la diversité colorée de la coexistence et voulons donc nous engager dans la reconnaissance et la protection des personnes touchées dans le domaine des familles dites arc-en-ciel. Par exemple, les pirates prônent une reconnaissance hiérarchique des différentes constellations familiales sans se focaliser sur le lien biologique.
Nous demandons donc, après la suspension du projet de loi 6568A, de reprendre les efforts pour donner aux femmes ou aux couples hétérosexuels, par exemple, à travers la PMA (procréation médicalement assistée) la possibilité d’avoir des enfants.
Dans le cadre de la reconnaissance des familles arc-en-ciel, il est également impératif de continuer à travailler de manière cohérente sur l’adaptation des documents officiels, des publications et des formulaires dans les administrations étatiques et municipales, qui utilisent encore actuellement une terminologie de parents hétérosexuels.
Par ailleurs, nous appelons à une analyse complète des différentes procédures en matière de politique d’affiliation et des conséquences possibles sur le droit de filiation et de succession des familles reebou.